MACRON : Drôle de SMS, on les aura ... !

Source : blog GENTSIDE NEWS "On les aura ces connards" : le drôle de SMS d’Emmanuel Macron à Olivier Véran

SUIVRE #POLITIQUE Face aux attaques récurrentes dont fait l’objet d’Olivier Véran, le chef de l’État a apporté un étonnant soutien à son ministre de la Santé, par SMS.

Emmanuel Macron est sous pression. Le 2 janvier, le JDD révélait l’agacement du président de la République face au retard à l’allumage de la campagne de vaccination en France, qui pourrait bien sceller son avenir politique en cas d’échec, selon les aveux d’un proche rapportés par Le Point ce mardi 12 janvier.

Dans la tempête, le chef de l’État n’en oublie pas pour autant de soutenir ses ministres les plus proches. C’est une autre révélation que fait Le Point dans son article en date du 12 janvier : tandis que les attaques se multiplient à l’encontre d’Olivier Véran, y compris au sein-même du gouvernement, Emmanuel Macron a apporté un étonnant soutient à son ministre de la Santé.

"On les aura ces connards" Face aux rumeurs évoquant une prochaine mise à l’écart du ministre, Roland Lescure, président LREM de la commission des Affaires économiques de l’Assemblée, juge : "Véran a le dos large, mais il a aussi les reins solides. J’ai beau chercher, je ne vois pas qui ferait mieux".

Un avis manifestement partagé par le président de la République, qui aurait selon Le Point envoyé un message sans équivoque à son ministre : "Tiens bon, on les aura, ces connards". Une marque de soutien certes fleurie, mais que le principal intéressé a dû apprécier.

"C’est quoi ce truc ? Qui a écrit ça ?" Dans cet article, le Point révèle aussi la dernière colère d’Emmanuel Macron pendant une réunion de crise portant sur la campagne de vaccination. Au moment d’évoquer le guide de 45 pages destiné aux directeurs d’Ehpad et d’USLD (Unités de soins de longue durée), le pensionnaire de l’Élysée s’est emporté :

"C’est quoi ce truc ? Qui a écrit ça ? Les Français nous prennent pour des fous ! (...) Je veux qu’on accélère vraiment sur les vaccins. Je ne comprends pas pourquoi on impose une consultation médicale avant, faites-moi sauter ça !"

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